samedi 27 février 2010

GAMOU 2010: Serigne Mansour SY, Khalife Général des Tidianes

"L’unité est la clé du développement"

Unité, c’est le thème principal de la 108 édition du Maouloud célébrée à Tivaouane cette année. C’est pourquoi dans son message lancé au cours de la cérémonie officielle du gamou, le khalife général des Tidianes a beaucoup insisté sur cet aspect. Serigne Mansour Sy dont les propos ont été rapportés par Serigne Abdou Aziz Sy Junior Al Amine estime que l’unité est la clé du développement.
"L’unité est la clé du développement quelle que soit la situation", a laissé entendre le porte-parole de la famille Tidiane qui pense que le Moulaoud devrait inspirer les musulmans pour instaurer la coexistence pacifique. D’autant plus, argue-t-il, des peuples différents se retrouvent sans aucune distinction pour célébrer la naissance du Prophète Mohamed (Psl).
Insistant sur la nécessité de s’unir, Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine a indiqué qu’ il ne peut pas y avoir de paix sans unité. Aussi exhorte-t-il, les Etats, particulièrement le nôtre, à prôner l’unité. A ce propos, il juge nécessaire de mettre en place au Sénégal, une charte nationale sur l’unité.
Il a également appelé à la tenue d’assises qui réuniront, la classe politique, les intellectuels, les imams, les travailleurs, ainsi que d’autres segments de la nation. A ses yeux, "il faut constituer un bloc contre ceux qui ne pensent qu’à diviser pour mieux régner".
Par ailleurs, le khalife général des Tidianes a par la voix de son porte-parole, a tenu à dire toute sa satisfaction à l’endroit du gouvernement. ’’Le gouvernement a respecté tous ses engagements pour l’organisation du Maouloud. De même que les ministres se sont acquittés des tâches qu’on leur avait confiées pour la célébration de l’évènement’’, a dit Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine au nom de Serigne Mansour Sy.
EL Hadji Malick Cissé CESTI

Un séisme fait au moins 47 morts au Chili et provoque une alerte au tsunami

Un violent séisme d'une magnitude de 8,8 sur l'échelle de Richter a frappé le sud du Chili, dans la matinée du samedi 27 février, tuant au moins 85 personnes et privant la plupart du pays d'électricité. La secousse, la plus importante enregistrée dans la région en près de 50 ans, a eu lieu à 3 h 34 locales (7 h 34 à Paris) à 99 km au sud-ouest de la ville de Talca et à 117 km au nord de Concepcion. Une série de répliques a été signalée depuis, la plus importante d'une magnitude de 6,9 au large des côtes.
Le séisme a été ressenti à Santiago, où des dégâts matériels ont été recensés, et dans plusieurs villes d'Amérique latine. Mais c'est dans la ville de Concepcion où les dégâts sont les plus importants. Des bâtiments et des autoroutes se sont écroulés et d'autres infrastructures ont pris feu, selon le peu d'information qui a filtré jusqu'ici.
Selon la présidente chilienne, Michèle Bachelet, le bilan provisoire de 78 morts devrait s'alourdir dans les prochaines heures. Ce bilan concerne surtout la région méridionale de Maule, particulièrement touchée. Selon les services de secours, les morts ont été victimes d'effondrements de murs, mais un nombre important aussi de crises cardiaques. Le gouvernement chilien a décrété l'état d'urgence et appelé la population à demeurer dans ses foyers.
EL Hadji Malick Cissé CESTI avec RFI
NIGER: Un coup d'Etat prévisible

Depuis trois mois, bon nombre de Nigériens prévoyaient une réaction de l'armée. La date du 22 décembre dernier a marqué l'expiration du deuxième mandat de Mamadou Tandja qui, pour se maintenir au pouvoir au-delà de cette date, avait dissous le Parlement et fait adopter par référendum une nouvelle Constitution. D'autres facteurs ont aussi compté dans la décision de renverser Mamadou Tandja.
L'armée a visiblement voulu donner une dernière chance à la négociation menée par la CEDEAO. Mais, mardi 16 février, le sommet des chefs d'Etats de l'organisation sous-régionale n'a pu faire qu'un constat d'échec. Les cartes du dialogue épuisées, les militaires ont renversé 48 heures après ce sommet le président Tandja.
Plusieurs facteurs les y ont incités. Après la rupture du dialogue avec l'opposition, les militaires ont probablement craint un durcissement du régime Tandja avec à la clef la mise à l'écart au sein de l'armée d'éléments jugés suspects. Les putschistes ont peut-être également décidé d'agir rapidement pour ne pas être pris de vitesse par un autre groupe : des officiers supérieurs, par exemple, qui auraient pu faire le coup avant eux.

Mais l'éviction de Mamadou Tandja est sans aucun doute perçue comme un soulagement, en tout cas comme une potentielle solution pour ramener le Niger sur les rails de la démocratie, à condition bien sûr que les putschistes jouent le jeu.
EL Hadji Malick Cissé CESTI

lundi 15 février 2010


INFOS: Bienvenue


Salut, je m'appelle EL Hadji Malick Cissé, je suis étudiant en première année au Centre d'études des sciences et techniques de l'information (CESTI). Je suis titulaire du diplôme universitaire en sciences de l'information documentaire (DUSID) à l'école des bibliothécaires archivistes et documentalistes du Sénégal (EBAD).
Le journalisme est une profession qui exige certes du talent, mais aussi des aptitudes, des dons d'observation, un sens de l'actualité.
Bienvenue à ce blog d'informations. A bientôt.