
L’OMVS va investir dans la lutte contre les endémies bilharziennes (haut commissaire)
L’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) compte ’’faire de l’investissement social’’ dans le but de ’’lutter contre les endémies bilharziennes’’, a indiqué mercredi 07 juillet à Dakar, Mohamed Salem Ould Merzoug, haut commissaire de l’Organisation.
‘’Il faut aussi faire de l’investissement social. Nous allons organiser une offensive santé (...) pour lutter contre les endémies bilharziennes avec un traitement de masse, traiter le mal à la racine’’, a-t-il dit lors d’un point de presse.
La rencontre avec les journalistes rentre dans le cadre de la nouvelle réforme de l’ensemble du système OMVS, adoptée par la 52ème session du Conseil des ministres qui s’est tenue à Dakar, du 1er au 3 juillet.
Cette réforme touche à l’ensemble du système OMVS, le Haut commissariat, la Société de gestion et d’exploitation de Diama (SOGED) et la Société de gestion de Manantali (SOGEM).
Elle vise à adapter les structures de l’organisation à ses nouvelles missions et à l’évolution du monde moderne.
Cet investissement dans le social vise, entre autres, à prémunir contre ‘’le paludisme tous les habitants du bassin du fleuve Sénégal (9 millions deux cents mille habitants)’’, avec la ‘’distribution de moustiquaires imprégnées.
Par ailleurs, le haut commissaire de l’OMVS est revenu sur les résultats de cette session extraordinaire où des décisions primordiales ont été notées.
Il s’agit de ‘’la réforme du système OMVS dans son ensemble’’, la fixation d’’’un calendrier’’, mais aussi ‘’l’amplification de certains aménagements (l’hydro-électricité, la mobilité spatiale sous forme de modernisation et de restructuration), a précisé M. Merzoug.
Cette réforme ‘’répond aux exigences actuelles’’, a-t-il affirmé, soulignant qu’elle va permettre à l’OMVS de ‘’redéfinir son architecture programmatique avec quelques versants majeurs axés sur le cadre macro-économique (la contribution majeur de l’accès à l’eau, la mobilité en valorisant le transport dans les bassins du fleuve Sénégal)’’.
S’agissant de la valorisation du transport, une nouvelle agence va prendre en charge ce volet avec un capital tournant autour d’’’un milliard de francs CFA’’ a-t-il ajouté.
L’OMVS regroupe quatre Etats membres : le Mali, la Mauritanie, le Sénégal et la Guinée.
‘’Il faut aussi faire de l’investissement social. Nous allons organiser une offensive santé (...) pour lutter contre les endémies bilharziennes avec un traitement de masse, traiter le mal à la racine’’, a-t-il dit lors d’un point de presse.
La rencontre avec les journalistes rentre dans le cadre de la nouvelle réforme de l’ensemble du système OMVS, adoptée par la 52ème session du Conseil des ministres qui s’est tenue à Dakar, du 1er au 3 juillet.
Cette réforme touche à l’ensemble du système OMVS, le Haut commissariat, la Société de gestion et d’exploitation de Diama (SOGED) et la Société de gestion de Manantali (SOGEM).
Elle vise à adapter les structures de l’organisation à ses nouvelles missions et à l’évolution du monde moderne.
Cet investissement dans le social vise, entre autres, à prémunir contre ‘’le paludisme tous les habitants du bassin du fleuve Sénégal (9 millions deux cents mille habitants)’’, avec la ‘’distribution de moustiquaires imprégnées.
Par ailleurs, le haut commissaire de l’OMVS est revenu sur les résultats de cette session extraordinaire où des décisions primordiales ont été notées.
Il s’agit de ‘’la réforme du système OMVS dans son ensemble’’, la fixation d’’’un calendrier’’, mais aussi ‘’l’amplification de certains aménagements (l’hydro-électricité, la mobilité spatiale sous forme de modernisation et de restructuration), a précisé M. Merzoug.
Cette réforme ‘’répond aux exigences actuelles’’, a-t-il affirmé, soulignant qu’elle va permettre à l’OMVS de ‘’redéfinir son architecture programmatique avec quelques versants majeurs axés sur le cadre macro-économique (la contribution majeur de l’accès à l’eau, la mobilité en valorisant le transport dans les bassins du fleuve Sénégal)’’.
S’agissant de la valorisation du transport, une nouvelle agence va prendre en charge ce volet avec un capital tournant autour d’’’un milliard de francs CFA’’ a-t-il ajouté.
L’OMVS regroupe quatre Etats membres : le Mali, la Mauritanie, le Sénégal et la Guinée.
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