
La section sénégalaise d’Amnesty International et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) demandent ‘’l’ouverture d’une enquête judiciaire qui ira à son terme’’ dans l’affaire de la mort par balle du jeune pêcheur Moustapha Sarr.
Selon ces deux organisations de défense des droits de l’homme, l’enquête permettrait de ‘’situer les responsables et de sanctionner les auteurs’’ de ce drame qui a plongé depuis lundi 05 juillet Soumbédioune et ses envions dans une certaine tension.
De violentes échauffourées ont éclaté lundi après-midi entre des pêcheurs de Soumbédioune et les forces de l’ordre, suite à la mort d’un jeune pêcheur qui aurait reçu en pleine poitrine une balle tirée par un garde forestier.
Les faits se sont déroulés aux environs du parc des îles de la Madeleine, une zone interdite à la pêche où s’étaient aventurés la victime et d’autres pêcheurs. Depuis, la plage de Soumbédioune, un haut lieu de l’activité liée à la pêche dans la capitale, vit au ralenti.
Dans un communiqué reçu ce jeudi 08 juillet à l'APS, les deux organisations déclarent condamner ‘’vigoureusement cet acte irresponsable de l’agent des eaux-et-forêts qui rappelle à bien des égards d’autres affaires dramatiques, comme l’affaire Dominique Loppy, qui n’ont toujours pas connu de suite.’’
Au-delà de cette affaire dramatique, Amnesty International-Sénégal et la RADDHO ‘’invitent les autorités à trouver une solution définitive à cette relation conflictuelle qui a toujours existé entre les gardes côtiers et les pêcheurs occasionnant souvent l’arraisonnement des pirogues et matériels de ces derniers’’, rapporte le texte.
Selon ces deux organisations de défense des droits de l’homme, l’enquête permettrait de ‘’situer les responsables et de sanctionner les auteurs’’ de ce drame qui a plongé depuis lundi 05 juillet Soumbédioune et ses envions dans une certaine tension.
De violentes échauffourées ont éclaté lundi après-midi entre des pêcheurs de Soumbédioune et les forces de l’ordre, suite à la mort d’un jeune pêcheur qui aurait reçu en pleine poitrine une balle tirée par un garde forestier.
Les faits se sont déroulés aux environs du parc des îles de la Madeleine, une zone interdite à la pêche où s’étaient aventurés la victime et d’autres pêcheurs. Depuis, la plage de Soumbédioune, un haut lieu de l’activité liée à la pêche dans la capitale, vit au ralenti.
Dans un communiqué reçu ce jeudi 08 juillet à l'APS, les deux organisations déclarent condamner ‘’vigoureusement cet acte irresponsable de l’agent des eaux-et-forêts qui rappelle à bien des égards d’autres affaires dramatiques, comme l’affaire Dominique Loppy, qui n’ont toujours pas connu de suite.’’
Au-delà de cette affaire dramatique, Amnesty International-Sénégal et la RADDHO ‘’invitent les autorités à trouver une solution définitive à cette relation conflictuelle qui a toujours existé entre les gardes côtiers et les pêcheurs occasionnant souvent l’arraisonnement des pirogues et matériels de ces derniers’’, rapporte le texte.
EL Hadji Malick Cissé, stagiaire à l'Agence de presse sénégalaise (A.P.S.)
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